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  •  Tufféry , Christophe
     
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  •  Longhi , Julien , 1981-....
     
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  •  Valentin , Boris , 1965-....
     
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  •  AGORA , Cergy-Pontoise
     
     
     
     Affichage MARC
    Auteur : 
    Tufféry , Christophe
    Longhi , Julien , 1981-....
    Valentin , Boris , 1965-....
    Procopiou , Hara , 19..-....
    Bachimont , Bruno , 1963-....
    Garcia , Dominique , 1962-.... , Archéologue
    Pinçon , Geneviève , 1959-....
    CY Cergy Paris Université , 2020-....
    Ecole doctorale Arts, Humanités, Sciences Sociales , Cergy-Pontoise, Val d'Oise
    AGORA , Cergy-Pontoise
    Titre : 
    Ce que le numérique fait à l'archéologie et aux archéologues.Contribution historiographique et épistémologiqueà l'étude des évolutions d'une discipline et de ses pratiques en France depuis les années 1970. , Christophe Tufféry ; sous la direction de Julien Longhi et de Boris Valentin
    Editeur : 
    2022
    Notes : 
    Titre provenant de l'écran-titre
    Ecole(s) Doctorale(s) : Arts, Humanité, Sciences Sociales
    Partenaire(s) de recherche : AGORA - Laboratoire de recherche civilisation, identités culturelles, textes et francophonies (Laboratoire)
    Autre(s) contribution(s) : Julien Longhi, Boris Valentin, Hara Procopiou, Bruno Bachimont, Dominique Garcia, Geneviève Pinçon (Membre(s) du jury) ; Hara Procopiou, Bruno Bachimont (Rapporteur(s))
    Thèse de doctorat Patrimoine: Etudes Patrimoniales CY Cergy Paris Université 2022
    Cette thèse adopte un double point de vue historiographique et épistémologique.En prenant comme période d'étude les cinq dernières décennies, la thèse questionne les pratiques numériques des professionnels de l'archéologie depuis l'acquisition de données jusqu'à leur publication sur l'internet. Néanmoins cette recherche se concentre sur le terrain, lieu privilégié d'observation de la construction des savoirs archéologiques. Son projet est un ensemble d'observations et d'interprétations sur la transformation des pratiques de la notation et de l'enregistrement des informations sur les observations de terrain, en s'appuyant sur l'étude de plusieurs sources documentaires directes et indirectes, des archives de fouille, des dispositifs numériques, des entretiens et notre propre pratique, mise en réflexivité.Parmi ses résultats, la thèse a abouti au développement d'une application de transcription numérique ArchéoText qui s'appuie sur plusieurs des méthodes et techniques des humanités numériques . Appliquée à l'étude de cahiers de fouille des années 1970 et 1980, l'analyse des contenus de ce type d'archives en montre la richesse des contenus. Elles comportent les traces de la production des savoirs sur le terrain, de la vie sur la fouille, des relations entre les archéologues, que ce soit sur le terrain ou en dehors de celui-ci, des réseaux de sociabilité des archéologues pour l'époque concernée.L'observation de nombreux dispositifs numériques apparus à partir du milieu des années 1980 et des pratiques récentes qui leur sont liées ont montré d'importants changements dans les contenus et supports des notations de terrain depuis plusieurs décennies. Certains types d'archives et modalités de production de savoirs sont en voie de disparition, au profit d'autres modalités qui convergent vers une production massive de données.L'évolution des méthodes et techniques numériques soulève de nombreux problèmes, que ce soit dans la formation des utilisateurs, dans l'hétérogénéité constatée et durable des pratiques numériques, dans le fonctionnement des collectifs de travail, dans les critères de scientificité empruntés à d'autres disciplines scientifiques. Si les professionnels de l'archéologie observent cette mutation le plus souvent de façon distanciée, parfois critique, la plupart d'entre eux s'y inscrivent en cherchant à négocier des consensus et de nouvelles positions pour rendre l'adoption de ces nouvelles pratiques supportables à titre individuel et collectif.Face à la tendance à l'homogénéisation des pratiques et des savoirs numériques de l'archéologie, la thèse promeut une histoire émotionnelle des savoirs archéologiques, qui permet de (re)trouver la dimension anthropologique de la construction des nouveaux savoirs de l'archéologie.
    This thesis adopts a double historiographic and epistemological point of view.Taking the last five decades as the period of study, the thesis questions the digital practices of archaeological professionals from data acquisition to their publication on the Internet. Nevertheless, this research focuses on the field, the privileged place of observation of the construction of archaeological knowledge.Its project is a set of observations and interpretations on the transformation of the practices of notating and recording information about field observations, drawing on the study of several direct and indirect documentary sources, excavation archives, digital devices, interviews and our own practice, put into reflexivity.Among its results, the thesis leds to the development of a digital transcription application, ArchéoText, which relies on several of the methods and techniques of the "digital humanities. Applied to the study of excavation notebooks from the 1970s and 1980s, the analysis of the contents of this type of archive shows the richness of its contents. They contain traces of the production of knowledge on the field, of life on the excavation, of the relationships between the archaeologists, whether on the field or outside it, of the sociability networks of the archaeologists for the period concerned.The observation of numerous digital devices that appeared from the mid-1980s onwards, and of recent practices linked to them, had shown important changes in the contents and media of field notations over the last several decades. Certain types of archives and modalities of knowledge production are disappearing, to the benefit of other modalities that converge towards a massive production of data.The evolution of digital methods and techniques raises numerous problems, whether in the training of users, in the observed and lasting heterogeneity of digital practices, in the functioning of work groups, or in the criteria of scientificity borrowed from other scientific disciplines. If archaeological professionals observe this change most often in a distanced, sometimes critical way, most of them are involved in it by trying to negotiate consensus and new positions to make the adoption of these new practices bearable individually and collectively.Faced with the tendency to homogenize the practices and digital knowledge of archaeology, the thesis promotes an emotional history of archaeological knowledge, which allows us to (re)find the anthropological dimension of the construction of new archaeological knowledge.
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    URL: 
    (Accès au texte intégral) http://www.theses.fr/2022CYUN1129/document
    http://www.theses.fr/2022CYUN1129/abes
    Sujet : 
    Thèses et écrits académiques
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