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par auteur:
Olette , Michel
Gatellier , Christian
Lamarque , Gabriel
Ruby-Meyer , Fabienne
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Auteur :
Olette , Michel
Gatellier , Christian
Lamarque , Gabriel
Ruby-Meyer , Fabienne
Titre :
Métallurgie secondaire , Michel Olette, Christian Gatellier, Gabriel Lamarque,... [et al.]
Notes :
Référence de l'article : m7750
Volume : base documentaire : TIB365DUO
Publié dans : Techniques de l'ingénieur. Aciéries : traitements et procédés
Date de publication : 2008/12/10
Les exigences, de plus en plus sévères, des utilisateurs vis-à-vis des aciers, en ce qui concerne aussi bien leur composition chimique, leur propreté physique que leurs caractéristiques d'emploi, ont entraîné, depuis le début des années 1960, le développement d'un grand nombre de traitements métallurgiques, de plus en plus complexes, qui ne pouvaient trouver leur place dans le réacteur traditionnel d'aciérie : convertisseur à l'oxygène ou four électrique. Les opérations ainsi menées hors du four ont donné naissance à une nouvelle métallurgie, qualifiée de « secondaire » et réalisée dans une poche d'aciérie munie de différents équipements : busette à tiroir, bouchons poreux... Trois aspects doivent être pris en considération pour comprendre pourquoi la métallurgie secondaire est apparue et s'est développée. Productivité Il est clair qu'elle permet une meilleure utilisation des appareils sidérurgiques, en particulier des convertisseurs de grande capacité (350 t) et du four électrique, en reportant les opérations de métallurgie fine, souvent longues, en poche. Qualité C'est évidemment l'aspect le plus important. La métallurgie hors du four permet d'améliorer : l'uniformité en composition et en température des coulées successives, ce qui revêt une grande importance dans l'optique actuelle de la généralisation de la coulée continue ; l'étape de métallurgie en poche constitue, de plus en plus, l'indispensable liaison entre le convertisseur ou le four électrique et la machine de coulée ; le contrôle de la composition et l'obtention de très faibles teneurs en éléments résiduels : C, H, N, O, P, S... ; la propreté inclusionnaire et la morphologie des inclusions restantes ; elle rend aussi possible la production de nouvelles nuances d'acier difficiles à obtenir en une seule opération. Abaissement des coûts C'est une conséquence des deux points précédents. Son estimation n'est pas toujours aisée, puisqu'il faut tenir compte du coût de l'opération nouvelle, mais le bilan est, en général, largement positif. Dans l'ensemble du texte, les symboles soulignés, comme ou [O], désignent des éléments dissous dans le métal et les constituants du laitier sont, eux, entre parenthèses (SiO 2 ).
URL:
https://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/materiaux-th11/acieries-traitements-et-procedes-42365210/metallurgie-secondaire-m7750/
https://doi.org/10.51257/a-v3-m7750
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